Citations extraites du livre de Guillaume Musso "L'appel de l'ange"
- Le rivage est plus sûr, mais j'aime me battre avec les flots. (Emily Dickinson)
- Il est des êtres dont c'est le destin de se croiser. Où qu'ils soient. Où qu'ils aillent. Un jour ils se rencontrent. (Claudie Gallay)
- C'est épouvantable d'être seul quand on a été deux. (Paul Morand)
- Tout le monde a des secrets. Il s'agit simplement de découvrir lesquels. (Stieg Larsson)
- Le coeur de la femme est un labyrinthe de subtilités qui défie l'esprit grossier du mâle à l'affût. Si vous voulez vraiment posséder une femme, il faut d'abord penser comme elle et la première chose à faire est de conquérir son âme. (Carlos Ruiz Zafon)
- Le désir de connaître totalement quelqu'un est une façon de se l'approprier, de l'exploiter. C'est un souhait honteux auquel il faut renoncer. (Joyce Carol Oates)
- Car (ils) étaient unis par un fil [...] qui ne pouvait exister qu'entre deux individus de leur espèce, deux individus qui avaient reconnu leur solitude dans celle de l'autre. (Paolo Giordano)
- Nous avions besoin d'oubli, tous les deux, de gîte d'étape, avant d'aller porter plus loin nos bagages de néant. [...] Deux êtres en déroute qui s'épaulent de leur solitude. (Romain Gary)
- Parfois, c'est ça aussi, l'amour : laisser partir ceux qu'on aime. (Joseph O'Connor)
- Il y avait entre eux l'intimité d'un secret bien gardé. (Marguerite Yourcenar)
- Notre grand tourment dans l'existence vient de ce que nous sommes éternellement seuls, et tous nos efforts, tous nos actes ne tendent qu'à fuir cette solitude. (Guy de Maupassant)
- Pour l'essentiel, l'homme est ce qu'il cache : un misérable petit tas de secrets. (André Malraux)
- Everybody counts or nobody counts. (Michael Connelly)
- On a toujours le choix. On est même la somme de ses choix. (Joseph O'Connor)
- Elle ne savait pas que l'Enfer, c'est l'absence. (Paul Verlaine)
- Qui baigne ses mains dans le sang les lavera dans les larmes. (proverbe allemand)
- Seule [...]. Je suis toujours seule / quoi qu'il arrive. (Marilyn Monroe)
- De tous les maux, les plus douloureux sont ceux que l'on s'est infligés à soi-même. (Sophocle)
- La réussite n'est pas toujours une preuve d'épanouissement, elle est souvent même le bénéfice secondaire d'une souffrance cachée. (Boris Cyrulnik)
- Mon mal vient de plus loin. (Flannery O'Connor)
- Le vertige, c'est autre chose que la peur de tomber. C'est la voix du vide au-dessous de nous qui nous attire et nous envoûte, le désir de chute dont nous nous défendons ensuite avec effroi. (Milan Kundera)
- Un secret que l'on garde est comme un péché que l'on ne confesse point : il germe, se corrompt en nous, et ne peut se nourrir que d'autres secrets. (Juan Manuel De Prada)
- Je ne sais où va mon chemin, mais je marche mieux quand ma main serre la tienne. (Alfred De Musset)
- Ce que les morts laissent aux vivants [...], c'est certes un chagrin inconsolable, mais aussi un surcroît de devoir de vivre, d'accomplir la part de vie dont les morts ont dû apparemment se séparer, mais qui reste intacte. (François Cheng)
- Les hommes parlent aux femmes pour pouvoir coucher avec elles ; les femmes couchent avec les hommes pour pouvoir leur parler. (Jay Mc Inerney)
- Non sum qualis eram {je ne suis plus ce que j'étais} (Horace)
- Personne ne peut porter longtemps le masque. (Sénèque)
- Quand tu aimes quelqu'un, tu le prends en entier, avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. Tu prends son histoire, son passé et son présent. Tu prends tout, ou rien du tout. (R.J. Ellory)
- Luctor et emergo {je lutte pour ne pas me noyer} (Devise de la province hollandaise de Zeeland)
- Chacun de nous est une lune, avec une face cachée que personne ne voit. (Mark Twain)
- Dans les ténèbres, à chacun son destin. (Gao Xingjian)
- Les épines que j'ai recueillies viennent de l'arbre que j'ai planté. (Lord Byron)
- L'esprit cherche et c'est le coeur qui trouve. (George Sand)
- Il y a un instant où la mort a toutes les cartes et où elle abat d'un seul coup les quatre as sur la table. (Christian Bobin)
- Le seul élément qui puisse remplacer la dépendance à l'égard du passé est la dépendance à l'égard de l'avenir. (John Dos Passos)
- Tandis qu'un animal se tapit dans le noir pour mourir, un homme cherche la lumière. Il veut mourir chez lui, dans son élément, et les ténèbres ne sont pas son élément. (Graham Greene)
- Les plus belles années d'une vie sont celles que l'on n'a pas encore vécues. (Victor Hugo)
20/04/2012
Retour aux articles de la catégorie Citations -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 2434 autres membres